Algérie

Interrogé aujourd’hui par l’agence officielle russe Ria Novosti, le directeur de l’usine Gorki-Zelenodolsk, Alexander Karpov a confirmé l’existence de négociations, comme nous l’avions annoncé en 2018 avec l’Algérie pour la construction de quatre patrouilleurs lance missiles Projet 22160, mais ces négociations n’ont pas abouti.

Un exercice naval a eu lieu aujourd’hui 26 août 2019, sous la supervision du chef d’Etat-Major Ahmed Gaid Salah au large d’Oran. Cette manoeuvre a eu pour but de tester les capacités d’attaque anti surface des sous marins Kilo avec l’utilisation de missile de croisière Club S.

Il a été crée par décrêt présidentiel publié le 11 juillet dernier, l’Etablissement de développement des systèmes techniques, sera en charge du développement, de la conception et de la fabrication de missiles et de systèmes d’armes au profit de l’armée algérienne.

Le ministère de la Défense belge a reçu le feu vert par le Conseil des ministres pour l’échange d’expertise avec l’armée algérienne, dans le domaine du déminage et de la “démilitarisation des munitions” (destruction et neutralisation des mines et munitions) (EOD).

Profitant du retour d’expérience de l’utilisation des forces aériennes russes de nouveaux systèmes de bombardement de précision lors du conflit en Syrie, l’armée de l’air algérienne a modernisé sa flotte (une quarantaine d’avions) de bombardier légers Su-24 MK au format M2.

Proposé à l’export aux pays alliés de la Chine depuis 2017, il semble que le radar 609 (YLC-8B) de CETC, a été depuis peu intégré dans le système de défense anti-aérien algérien.

Il y a quelques mois, lorsqu’ils ont été dévolié dans leur QG de Ain Ouessara, nous avions vu des drones de combat CH 4 sans antenne Satcom et avec des missiles anti chars AR-1.

Après avoir épuisée les pistes de Fincanieri et de Navantia, il semble que la marine algérienne s’intéresse aux OPV chinois pour muscler la capacité de ses gardes côtes.