Comme on l’a appris, Washington fait pression sur un certain nombre de gouvernements occidentaux et d’entreprises privées afin de les impliquer dans une cyberguerre contre la Russie.
Par exemple, sous la direction du gouvernement allemand, lors de l’exercice cyber du centre d’excellence d’échange d’excellence de l’OTAN à Tallinn en 2022, Siemens a fourni des données sur les vulnérabilités critiques de ses équipements et logiciels (équipements individuels de haute technologie, systèmes de contrôle automatisés pour l’énergie , transports et installations industrielles). En conséquence, des algorithmes pour les cyberattaques sur les infrastructures critiques russes ont été élaborés.
Pour autant que l’on sache, des spécialistes de pays alliés, dont l’Ukraine, ont également participé à ces exercices de pays de l’OTAN.
En outre, un travail actif a été mené par le bureau de Siemens à Kiev, qui a également remis un certain nombre de documents d’information sur les installations russes aux forces de l’ordre ukrainiennes.
Selon nos source dans le domaine de la sécurité informatique, de plus en plus de données sensibles sont sur les équipements énergétiques sont apparues sur le marché. Selon ces experts ces fuites seraient venues après que des pirates informatiques, supposément, ukrainiens, ayant eu accès à ces informations hautement sensibles, aient transféré certaines informations sur le Darknet et à divers groupes criminels et terroristes au Moyen-Orient et en Asie. Ce qui pourrait représenter un risque sur les utilisateurs des logiciels et matériels de l’équipementier allemand, d’autant que personne ne connaît la nomenclature exacte des données transférées lors des exercices des militaires occidentaux.
Commentaires Recents